Mon parcours
J’ai commencé par faire une licence de Géographie et d’Aménagement du Territoire à l’Université de Rouen Normandie. Après ça, j’ai enchaîné avec un master GAED (Géographie, Aménagement, Environnement et Développement) toujours à l’Université de Rouen Normandie. En seconde année de master, j’ai choisi le parcours recherche. Une fois mon master en poche, j’ai été embauchée à l’Université de Caen Normandie comme ingénieure d’études pour l’UMR ESO pendant 7 mois. C’est par ce premier emploi que j’ai rencontré l’équipe ESO – dont Michael Bermont et Maxime Marie – qui m’ont parlé du poste d’ingénieur d’études pour l’ANR cAnOPee.
Mon sujet de recherche
Dès le master 1, je me suis davantage penchée sur les questions de géographie environnementale notamment au travers de mon stage au BRGM (Bureau de Recherche Géologique et Minière) durant lequel j’ai effectué un inventaire des cavités souterraines en Haute-Normandie. Par la suite, en master 2, j’ai choisi de faire mon stage à l’UMR IDEES sur le site de Rouen. Mon stage portait sur l’apport de la cartographie 2D et 3D dans l’appréhension des aléas géomorphologiques du sous-sol en prenant l’exemple du site des carrières-grottes de Caumont en vallée de Seine. Ce stage était en partenariat avec l’IFPEN (Institut Français du Pétrole et des Energies Nouvelles) de Rueil-Malmaison qui m’a formée sur la partie modélisation 3D. Lors de mon premier emploi chez ESO, j’ai laissé de côté les problématiques autour de la géographie environnementale pour me pencher davantage sur des questions de géographie humaine.
Raisons qui m’ont motivée à rejoindre le projet
Après mon poste d’ingénieure d’études chez ESO, je souhaitais de nouveau étudier les questions de géographie environnementale mais sous un angle différent. Etant issue du milieu agricole, les problématiques de ce milieu m’ont toujours beaucoup intéressée. Mon intérêt s’est donc porté dès le début sur le projet cAnOPee.