Le Gras, p. 134
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ARTICLE XCIX.
En la Ioye.

En la Ioye, que le poulx est égal et plus viste qu’à l’ordinaire, mais qu’il n’est pas si fort ou si grand qu’en l’Amour, et qu’on sent une chaleur agreable, qui n’est pas seulement en la poitrine, mais qui se répand aussi en toutes les parties exterieures du corps, AT XI, 403 avec le sang qu’on voit y venir en abondance ; et que cependant on perd quelquefois l’appetit, à cause que la digestion se fait moins que de coustume.