Réponse.
AT IX-1, 152 Pour la verité de cette conclusion, il n’eit pas necessaire que nous ne puissions iamais estre trompez (car au contraire i’ay auoüé franchement que nous le sommes souuent) mais seulement que nous ne le soyons point, quand nostre erreur feroit paroirtre en Dieu vne volonté de deceuoir, laquelle ne peut estre en luy ; Et il y a encore icy vne consequence qui ne me semble pas estre bien deduite de ses principes.