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Pensées 1075 à 1079

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

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M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.

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Pensées, volume II

1075

Une noble fierté sied aux gens qui ont de grands talents[1]

Main principale M

1076

J’ay remarqué en lisant un extrait de l’histoire de la medecine de Mr Friënd[1] que les medecins dont il parle sont parvenus a une grande vïeillesse

Medecins vieux

raisons phisiques 1º les medecins sont portés a avoir de la temperence... 2º previenent leurs maladies dans les comencemens... 3º par leur estat ils font beaucoup d’exercisse[2] 4º en voyant beaucoup de malades leur temperament se fait a touts les airs ; et ils devienent moins susceptibles de derangement 5º conoissent mieux le péril. 6º Ceux dont la reputation est venue a nous estoient habiles ils ont donc esté donc conduits par des gens habiles ; c’est à dire eux mêmes.

- - - - -

Main principale M

1077

Il est tres surprenant que les richesses des l’eg gens d’eglise

Richesses de l’eglise

ayent comencé par le principe de la pauvreté :

Main principale M

1078

{f.67r} Je dis a Versailles tout le monde est petit a Paris tout le monde est grand 

- - - - -

Main principale M

1079

A Paris on est etourdy par le monde ; on ne conoit que les manieres

A Paris on ne connoît que les manieres

, et on n’a pas le temps de conoitre les vices et les vertus :

- - - - -

Main principale M


1075

n1.

Cf. nº 383, 1256.

1076

n1.

Docteur à Oxford, John Freind (1675-1728) écrivit une Histoire de la médecine (É. Coulet (trad.), Leyde, J. A. Langerak, 1727 ; M. de B*** (trad.), Paris, J. Vincent, 1728 ; 1re éd. History of Physick, Londres, J. Walthoe, 1725-1726) dans laquelle il réhabilitait la pratique médicale des Anciens. Montesquieu disposait d’un ouvrage de chimie médicale de Freind (Prælectiones chemicæ […], Amsterdam, Janson-Waesberge, 1718 – Catalogue, nº 1335). Voir Spicilège, nº 561, p. 495.

1076

n2.

Cf. nº 322.