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Pensées 1586 à 1590

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

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M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.

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Pensées, volume II

1586

{f.455v} Je disois j’aime Paris on n’y fait point de refflections on se deffait de son ame

Se defait de son ame

- - - - -

Main principale M

1587

Je n’aime point a Paris les dinés réglés[1] ; c’est come les voeux

Vœux

des moines, le sacrifice n’est compte pour quelque pour chose que lea premiere jour fois.

- - - - -

Main principale M

1588

A Paris on passe sa vie avec des gouts dans l’Italie les pais etrangers il faut des passions disoit Mr Lomillini[1]

- - - - -

Main principale M

1589

Je disois de Voltaire V c’est un probleme scavoir qui lui a rendu plus de justice ceux qui lui ont donné cent mille louanges ou ceux qui lui ont donné cent coups de baton[1] :

- - - - -

Main principale M

1590

Passions prodigues

Je ne scay qui a dit les gouts sont avares et les passions prodigues[1]  :

- - - - -

Main principale M


1587

n1.

Les dîners à jours fixes se pratiquaient en particulier dans les cercles intellectuels et mondains de la capitale, qui se faisaient concurrence.

1588

n1.

Agostino Lomellini (1709-1791), issu d’une famille de patriciens de Gênes, qui deviendra doge de la République, en fut l’envoyé extraordinaire à Paris de 1739 à 1742, où Montesquieu le rencontra, à une date indéterminée (lettre de Montesquieu à Guasco du 28 mars 1748, Masson, t. III, p. 1113).

1589

n1.

Allusion à la bastonnade infligée à Voltaire par le chevalier de Rohan en 1726 (Voltaire en son temps, R. Pomeau (dir.), Oxford, Voltaire Foundation, 1988, vol. I, D’Arouet à Voltaire, 1694-1734, p. 204-205) ; Montesquieu avait relaté l’épisode dans le Spicilège (nº 773).

1590

n1.

Cf. nº 1577.