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Pensées 877 à 881

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

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M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.

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Pensées, volume II

877

[Passage à la main M] C’est l’idée de l’unite de Dieu

Dieu

qui a fonde fait recevoir si aisément la religion chretiene et mahometane quand on dit qu’il y a plusieurs dieux il faut scavoir ce que c’est que ces plusieurs dieux quand on dit qu’il n’y en a qu’un il suffit de scavoir qu’il n’y en a qu’un cela dit tout :

Passage de la main E à la main M

878

{f.4v} Mon ami N : s’atachat a 80 ans a la philosophie c’estoit le heros du 3e livre de Virgile[1] plus fort que les jeunes gens :

- - - - -

Main principale M

879

De qui

Graces

D*** qui avoit de certeines fins me fit entendre qu’on me doneroit une pension, je dis que n’ayant point fait de bassesses je n’avois pas besoin d’estre consolé par des graces :

- - - - -

Main principale M

880

Je dis c’est un prin sur l’affliction de mad de L. c’est un principe de grandes maladies que la bonté du cœur

Bonté du cœur

 :

- - - - -

Main principale M

881

[Passage à la main E] *

* Je faisois parler un quoaquer[1] au roy d’Angleterre :

Je suis d’une secte[2] qui ne prend de part aux diverses calamités que des hommes que par la tendre compassion qu’elle en a et par sa patience : dans les tems malheureux qui agitoient nôtre isle elle sçavoit s’affliger et jamais se plaindre.
Comme elle peut souffrir les maux elle sçait joüir des biens et le sentiment qu’elle a du bonheur qu’elle possede sous le regne de sa votre majesté ne peut être separé d’un sentiment de reconnoissance envers celui qui conduit le cœur des rois.

- - - - -

Passage de la main M à la main E


878

n1.

Anchise avait quatre-vingts ans au départ de Troie. Sa mort est racontée à la fin du livre III de l’Énéide.

881

n1.

Lire : quaker.

881

n2.

Les quakers.