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Pensées 927 à 931

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

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M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.

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Pensées, volume II

927

{f.16r} Sur les historiens de France ut sicut prima ætas vidit quid ultimum in libertate esset, ita nos quod in servitute[1].

- - - - -

Main principale E

928

L’odDans l’ode[.] Donec gratus eram tibi[1], qui a êté tant loüé Horace est maladroit dans le dialogue. Horace dit qu’il mourroit pour Cloé[2] : Cloé repond qu’elle consentiroit de mourir deux fois[3] cela n’est pas heureusement dit.

- - - - -

Main principale E

929

Jure perhorrui
Laté conspicuum tollere verticem[1]
- - - - -

Main principale E

930

Virtutem incolumen odimus
Sublatam ex oculis quærimus invidi[1]

- - - - -

Main principale E

931

Jam nec spes animi credula mutui[1]

- - - - -

Main principale E


927

n1.

« De même que le premier âge a vu ce qu’était le comble de la liberté, de même nous avons vu le comble de la servitude » (Tacite, Agricola, II, 3 ; nous traduisons). Voir Spicilège, nº 233.

928

n1.

« Tant que je t’ai plu » (Horace, Odes, III, 9, 1, dans Horace. Traduction nouvelle, Leconte de Lisle (trad.), Paris, A. Lemerre, 1911).

928

n2.

Horace, Odes, III, 9, 11.

928

n3.

Horace, Odes, III, 15 ; c’est en réalité Lydia, et non sa rivale Chloé, qui parle dans le dialogue avec Horace.

929

n1.

« J’ai toujours craint de lever la tête et d’être vu de loin » (Horace, Odes, III, 16, 18-19, dans Horace. Traduction nouvelle, Leconte de Lisle (trad.), Paris, A. Lemerre, 1911).

930

n1.

« Envieux, nous haïssons la vertu vivante et nous cherchons des yeux celle qui a disparu » (Horace, Odes, III, 24, 31-32, dans Horace. Traduction nouvelle, Leconte de Lisle (trad.), Paris, A. Lemerre, 1911).

931

n1.

« Ni le crédule espoir d’un attachement mutuel [ne me plaît] » (Horace, Odes, IV, 30, dans Horace. Traduction nouvelle, Leconte de Lisle (trad.), Paris, A. Lemerre, 1911).