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Pensées 928 à 932

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

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M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.

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Pensées, volume II

928

L’odDans l’ode[.] Donec gratus eram tibi[1], qui a êté tant loüé Horace est maladroit dans le dialogue. Horace dit qu’il mourroit pour Cloé[2] : Cloé repond qu’elle consentiroit de mourir deux fois[3] cela n’est pas heureusement dit.

- - - - -

Main principale E

929

Jure perhorrui
Laté conspicuum tollere verticem[1]
- - - - -

Main principale E

930

Virtutem incolumen odimus
Sublatam ex oculis quærimus invidi[1]

- - - - -

Main principale E

931

Jam nec spes animi credula mutui[1]

- - - - -

Main principale E

932

Le succés de ce livre[1] a pleinement rempli mon ambition puisque toutes les critiques

Critique

que l’on a fait aprés un mois de vie ou d’engourdissement sont ensevelies dans l’ennuy la nuit eternele du Mercure avec les enigmes et les relations des gasetiers[2]
Hoc miseræ plebi stabat commune sepulchrum[3]

- - - - -

Main principale E


928

n1.

« Tant que je t’ai plu » (Horace, Odes, III, 9, 1, dans Horace. Traduction nouvelle, Leconte de Lisle (trad.), Paris, A. Lemerre, 1911).

928

n2.

Horace, Odes, III, 9, 11.

928

n3.

Horace, Odes, III, 15 ; c’est en réalité Lydia, et non sa rivale Chloé, qui parle dans le dialogue avec Horace.

929

n1.

« J’ai toujours craint de lever la tête et d’être vu de loin » (Horace, Odes, III, 16, 18-19, dans Horace. Traduction nouvelle, Leconte de Lisle (trad.), Paris, A. Lemerre, 1911).

930

n1.

« Envieux, nous haïssons la vertu vivante et nous cherchons des yeux celle qui a disparu » (Horace, Odes, III, 24, 31-32, dans Horace. Traduction nouvelle, Leconte de Lisle (trad.), Paris, A. Lemerre, 1911).

931

n1.

« Ni le crédule espoir d’un attachement mutuel [ne me plaît] » (Horace, Odes, IV, 30, dans Horace. Traduction nouvelle, Leconte de Lisle (trad.), Paris, A. Lemerre, 1911).

932

n1.

Les Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence, parues pour la première fois en 1734 à Amsterdam chez Jacques Desbordes.

932

n2.

Sur le succès de l’ouvrage et son accueil dans la presse et les correspondances, voir Romains, introduction, p. 44-47.

932

n3.

« Ici était le lieu d’une sépulture commune pour la plèbe misérable » (Horace, Satires, I, 8, v. 10, F. Villeneuve (trad.), Paris, Les Belles Lettres, 1932).