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Pensées 1162 à 1166

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

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M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.

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Pensées, volume II

1162

Un ministre qui Il y a dans les arts et sur tout dans la poesie de certeines félicites

Felicités

que l’on ne ratrape point

- - - - -

Main principale M

1163

Je disois que les lieues de Boheme estoint longues parce que c’estoint des gens qui ne pensoint point qui les avoint marquées[1]

- - - - -

Main principale M

1164

Je disois en Italie les Francois sont avares et prodigues ils sont florentins et milanois tout a la fois[1].

- - - - -

Main principale M

1165

Je disois que si un Persan ou un Indien venoit a Paris il faudroit six mois pour lui faire comprendre ce que c’est qu’un abé comendataire[1]

Abbé comendataire

 : qui bat le pavé de Paris ceci est de moy on l’a donné a l’abé de Mongaut[2]

- - - - -

Main principale M

1166

Le plais L’attente est une cheine qui lie touts nos plaisirs

- - - - -

Main principale M


1163

n1.

Cf. nº 381.

1164

n1.

Cf. nº 474.

1165

n1.

Un abbé commendataire est « en France un seculier qui est pourveu par le Pape d’une Abbaye ou d’un Prieuré, avec permission de disposer des fruits à son profit pendant sa vie » (Furetière, 1690, art. « Commendataire »). Ce bénéficiaire, non assujetti à la résidence, pouvait donc ainsi battre « le pavé de Paris ». La commende, qui permettait de donner des récompenses et de s’assurer des fidélités par des bénéfices ecclésiastiques, était fréquemment dénoncée comme un abus.

1165

n2.

Voir nº 291.