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Pensées 1398 à 1402

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

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M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.

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Pensées, volume II

1398

  Le seul homme que connut St Cernin c’estoit le marechal de Villars ce n’est pas[1]

Main principale M

1399

Rome esclave apres Tibere Claude Cayus Claude Neron Domitien touts les coups porterent sur les tirans aucun sur la tyrannie[1]

Mis dans les Loix

 :

Main principale M

1400

[Passage à la main H] La masse des joueurs gagne autant qu’elle perd a la depense des quartes[1] pres, mais ce qui rend le metier mauvais, c’est que ceux qui perdent, font de trés mauvais {f.202v} marchés pour paier ou pour reparer, et ceux qui gagnent font de très mauvais marchés aussi pour depenser.

- - - - -

Passage de la main M à la main H

1401

Feu Mr Le duc d’Antin[1] n’avoit jamais mis a aucune lotterie, donnè a aucune queteuse, donné aucune etrenne, aucun present, jamais donné pour boir a qui que ce soit en sa vie

Main principale H

1402

Francorum regis socero diadema negasti,

Carole, quisdtu genero, si tibi sceptra neget[1] ?

Main principale H


1398

n1.

Cf. nº 1388.

1399

n1.

Cf. EL, III, 3 : Derathé, t. I, p. 27.

1400

n1.

Comprendre : cartes.

1401

n1.

L’avarice de Louis Antoine de Pardaillan de Gondrin, duc d’Antin (1665-1736), fils du marquis de Montespan, est accréditée par Saint-Simon (t. II, p. 981-982). Il était connu comme étant un gros joueur (Saint-Simon, t. I, p. 754), ce qui explique le lien de cet article avec l’article 1400.

1402

n1.

« Tu as refusé le diadème au beau-père du roi des Français, Charles, que sera-ce s’il refuse le sceptre à ton gendre ? » (nous traduisons). Ces deux vers latins paraissent sans rapport avec ce qui précède, mais font sans doute allusion au contexte de la guerre de Succession d’Autriche (écriture H : 1741-1742). Charles VI, empereur d’Autriche, avait chassé Stanislas Ier Leszczyński du trône de Pologne (nº 1282). À sa mort en 1740, l’époux de sa fille Marie-Thérèse, François de Lorraine, était candidat à l’élection à la tête de l’Empire germanique. La France restera d’abord dans l’expectative et soutiendra la candidature de Charles-Albert de Bavière (1741-1742) : voir nº 1447.