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Pensées 1684 à 1688

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

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M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.
Q : 1750-1751.
S : 1754-1755.
V : 1754.

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Pensées, volume III

1684

[Passage à la main P] Un homme qui entendoit un vieux plaideur raconter ses faits et gestes luy dit, je comprend de tout cecy Monsieur que si vous me demandez la moitié de mon bien, je vous le laisseray ; si vous me le demandez tout je vous turay * cet homme etoit un grand philosope[1] et raisonnoit parfaitement bien.

- - - - -

Passage de la main M à la main P

1685

{f.34r} Materiaux qui n’ont pu entrer dans l’Esprit des loix

Main principale P

1686

[Passage à la main M] Je ne serois point du tout d’une plus grande fortune mais pour celles de ces gens d’affaires non equidem invideo miror magis[1] :

- - - - -

Passage de la main P à la main M

1687

Je ne puis comprendre coment les princes croyent si aisement qu’ils sont tout et coment les peuples sont si portés a croïre qu’ils ne sont rien

- - - - -

Main principale M

1688

On demendoit a Chirac[1]

Chirac

si le comerce avec les femmes estoit mal sain il disoit non pourvu qu’on ne prenne pas de drogues mais j’avertis que le changement est une drogue * il avoit raison et cela est bien prouvé par les serrails d’Orient

- - - - -

Main principale M


1684

n1.

Lire : philosophe.

1686

n1.

« Je ne suis point jaloux, mais étonné plutôt » (Virgile, Bucoliques, I, v. 11, E. de Saint-Denis (trad.), Paris, Les Belles Lettres, 1970). Cf. nº 1100.

1688

n1.

Pierre Chirac (1652-1732), premier médecin du Régent, puis, à partir de 1730, du roi Louis XV ; « le plus savant médecin de son temps, en théorie et en pratique », selon Saint-Simon (t. VI, p. 644).