Afficher Masquer
Passages biffés :
Sauts de pages :
Changements de mains :
Mots clés en marge
(main T) :
DistinguerIntégrer
Corrections du transcripteur :

Fermer

Accueil|Présentation du projet|Abréviations|Introductions|Texte|Index

Français|English Contacts

Volume I|Volume II|Volume III|Citer le texte et les notes| Écritures|Affichage

Pensées 1829 à 1833

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

Fermer

M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.
Q : 1750-1751.
S : 1754-1755.
V : 1754.

Fermer

Pensées, volume III

1829

{f.99v} Lorsqu’on pense a ces trois princes, Pepin Charles Martel et Cha[r]lemagne, sous eux la nation toujours victorieuse ne vit plus d’enemis mais apres eux il arriva ce que l’on avoit vu dans l’empire romain lorsqu’apres Marius, Sylla, Pompée Cesar Rome n’eut rien a soumettre, il arriva ce qu’apres Alexandre on avoit vu chez les Grecs les Francs se detruisirent eux mêmes par des guerres civiles[1].

- - - - -

Main principale P

1830

Agobard dans une lettre a Louis le Debonaire se plaint de ce que les canons des conciles de France faits par de si saints evêsques etoient regardés par beaucoup de gens comme superflus et inutiles parce qu’aiant èté {f.100r} faits sans la participation du pape les les canonistes romains n’en faisoient pas mention[1]
* Mais si le mal étoit deja si grand que dut-cec’ etre dans les siecles qui suivirent.

- - - - -

Main principale P

1831

J’aurois encore bien des choses à dire mais j’aurois peur que cela ne devint une matiere de pure erudition. Je vouderois[1] parler non pas a la memoire de mes lecteurs mais à leur bon sens, et l’on a plutot fini quand on parle au bon sens qu’à la memoire. J’aimerois mieux enseigner à considerer les loix dans dans leur origine, qu’à faire un livre sur l’origine des loix.

- - - - -

Main principale P

1832

{f.100v} Les Normands aiant desolé tout le royaume une espece d’anarchie qui venoit du malheur public mit le comble au malheur public. On elut Hugues Capet[1].

- - - - -

Main principale P

1833

Le Grand Seigneur a coutume d’assister au Divan derriere une tapiserie par la il ote a ses sujets la liberté de penser dans la chose du monde ou il luy importe le plus qu’ils soient libres c’est à dire dans les deliberations de son conseil[1].

- - - - -

Main principale P


1829

n1.

Sur l’affaiblissement de la monarchie et les troubles intérieurs à partir du règne de Louis le Débonnaire, voir EL, XXXI, 21-23.

1830

n1.

Agobard, évêque de Lyon, utilisa deux fois la même argumentation en faveur des conciles gaulois pour maintenir l’unité de l’Empire : contre la loi de Gondebaud qui ordonnait le combat judiciaire et contre les usurpations des laïques (Sancti Agobardi episcopi Ecclesiæ Lugdunensis Opera, Paris, D. Duvallius, 1605, p. 114 et p. 275 – Catalogue, nº 292). Voir EL, XXVIII, 17, note (e) ; XXVIII, 18 (premières lignes) ; Michel Rubellin, Église et société chrétienne d’Agobard à Valdès, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 2003, p. 236-238.

1831

n1.

Lire : voudrais.

1832

n1.

Cf. EL, XXXI, 33.

1833

n1.

Jean-Baptiste Tavernier, Nouvelle relation de l’intérieur du sérail du Grand Seigneur [1675], Amsterdam, J. Van Someren, 1678, p. 86 ; figure dans le tome VI de l’édition du Voyage en Turquie, en Perse […] du même auteur (Rouen, 1713 – Catalogue, nº 2762).