Pensées, volume II

1133

Dieu m’a donné du bien et je me suis donné du superflu :

Main principale M

1134

Ce que c’est que d’estre moderé dans ses principes

Principes modérés

je passe en France pour avoir peu de relligion, et en Angleterre pour en avoir trop^[1] :

Main principale M

1135

Ils croyent en Angleterre que la motie des Francois est a la Bastille et l’autre a l’hôpital :

Main principale M

1136

{f.78v} Les Anglois

Anglois

ne sont presque jamais unis que par les liens de la heine et l’espoir de la vengeance

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Main principale M

1137

L’essay de Raimond

Raymond

sur la poesie^[1] ce sont deux ou trois idées qui ont passé par un esprit sterile :

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Main principale M

1134	n1.	Cf. Notes sur l’Angleterre, Voyages, p. 504-505.
1137	n1.	Toussaint Rémond de Saint-Mard (1682-1757) fit paraître en 1729 l’Examen philosophique de la poésie en général (Paris, Briasson) et en 1734 des Réflexions sur la poésie en général, sur l’églogue, sur la fable, sur l’élégie, sur la satire, sur l’ode et sur les différents petits poèmes, suivies de trois lettres sur la décadence du goût en France (La Haye, C. de Rogissart ; Barbier mentionne une édition de 1733).

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