M : | Montesquieu 1726/1727-1755. |
D : | Bottereau-Duval 1718-1731. |
E : | 1734-1739. |
U : | 1739. |
H : | 1741-1742. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
I : | 1743. |
L : | 1743-1744. |
O : | 1745-1747. |
P : | Damours 1748-1750. |
Q : | 1750-1751. |
R : | Saint-Marc 1751-1754. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
JB : | Jean-Baptiste Secondat ?-1795. |
T : | écriture des manchettes 1828-1835 |
M : | Montesquieu. |
D : | Bottereau-Duval_1721-1731. |
H : | 1741-1742. |
P : | Damours_1748-1750. |
E : | 1734-1739. |
L : | 1742-1744. |
O : | 1745-1747. |
T : |
écriture des manchettes |
JB : | Jean-Baptiste_Secondat. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
E2 : | |
I : | 1743. |
R : | Saint-Marc_1751-1754. |
Pensées, volume II
Main principale F |
1498 Les conditions de paix imposées par les Romains, étoient prises des idées de ces tems là où l’on ne cherchoit pas tant à s’aggrandir qu’à affoiblir ses ennemis. Ainsi la paix que les Lacedemoniens donnerent aux Atheniens, fut telle qu’ils auroient les mêmes amis et les mêmes ennemis, les mêmes galeres, &c.
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Main principale F |
1499 Persée
Persée Les particuliers n’ont souvent besoin que des qualités de l’esprit. Les princes plus exposés aux caprices de la fortune, ont encore besoin des qualités de l’ame
Princes ont besoin des qualités de l’ame - - - - - |
Main principale F |
1500 La situation de l’Italie favorisoit les Romains. Elle est très étroite du nord au midi, et elle est coupée de l’est à l’ouest par l’Appennin. Les Romains se tenoient sur les montagnes d’où ils avoient l’œil sur toute la plaine et sur Annibal. Polybe dit qu’au siege de Capoüe ils firent de grandes choses, parce qu’étant retranchés ils ne craignoient point la cavalerie numide[1]
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Main principale F |
1501
L’intime liaison qui étoit entre les Carthaginois et les Toscans, dont nous parle Aristote et qui étoit de son tems, et la plus grande qu’il est possible
{f.225v} Liaisons intimes des Carthaginois avec les Toscans du tems d’Aristote. Choses communes entre eux. Leurs traités. (V. vol. Polit. p. 106. vers.)[1] * Il pouvoit être que la destruction des Toscans avoit donné de la jalousie aux Carthaginois.
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Main principale F |
1497 |
n1. |
Les fantassins suisses, habiles aux techniques du combat à la pique ou à l’arbalète, ont été utilisés comme instructeurs par Louis XI et recrutés comme mercenaires par diverses puissances européennes dès le XVe siècle. L’analogie entre les méthodes de combat des légions romaines et celles des troupes helvétiques inspira les réformateurs de l’infanterie à la Renaissance et ceux qui, comme Machiavel, dans son Art de la guerre (Paris, C. Chappelain, 1614 – Catalogue, nº 2402), aspiraient à un renouveau de l’éthique militaire ; voir Thomas F. Arnold, Les Guerres de la Renaissance, XVe-XVIe siècles, Paris, Autrement (Atlas des guerres), 2002. |
1499 |
n1. |
Voir nº 580, note 1 : la source de Montesquieu est Polybe. |
1500 |
n1. |
Polybe, IX, 3. |
1501 |
n1. |
Aristote, Politique, III, 5, 11, 1280a-b ; Montesquieu a fait de l’ouvrage un extrait, qui est perdu, et qui devait s’insérer dans un recueil intitulé Politica ; voir nº 1767, 1776, 1880 ; BM Bordeaux, ms 1868, nº 327 ; Louis Desgraves, « Les extraits de lecture de Montesquieu », Dix-huitième siècle, nº 25, 1993, p. 484. |