M : | Montesquieu 1726/1727-1755. |
D : | Bottereau-Duval 1718-1731. |
E : | 1734-1739. |
U : | 1739. |
H : | 1741-1742. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
I : | 1743. |
L : | 1743-1744. |
O : | 1745-1747. |
P : | Damours 1748-1750. |
Q : | 1750-1751. |
R : | Saint-Marc 1751-1754. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
JB : | Jean-Baptiste Secondat ?-1795. |
T : | écriture des manchettes 1828-1835 |
M : | Montesquieu. |
D : | Bottereau-Duval_1721-1731. |
H : | 1741-1742. |
P : | Damours_1748-1750. |
E : | 1734-1739. |
L : | 1742-1744. |
O : | 1745-1747. |
T : |
écriture des manchettes |
JB : | Jean-Baptiste_Secondat. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
E2 : | |
I : | 1743. |
R : | Saint-Marc_1751-1754. |
Pensées, volume II
913 Les juifs sont a present sauvés ; la superstition ne reviendra plus : et on ne les exterminera plus par principe de consciance[1]
- - - - - |
Main principale M |
914
Grand ministere que celui du Le cardinal de Fleury il est pourtant parvenu a abatre le jansenisme et a faire recevoir la Constitution
Fleury Cela a bien changé |
Main principale M |
915
{f.13v} Francois leur caractere chez les anciens Gaulois
Caractère des anciens Gaulois |
Main principale M |
916
{f.14r} Les histoires
Histoires - - - - - |
Main principale M |
917 Luther
Luther Mis dans les Loix C’est que le luteranisme s’estoit estably par les roix du Nord, et le calvinisme dans les estats populaires et dans ceux ou de certeines gens cherchoient a le devenir :
Ces deux Chacune de ces deux relligions se croyoint la plus parfaite l’une qui est la calviniste se jugeant plus conforme a ce que J.C. avoit dit et la luteriene a ce que les apotres avoint fait[1] :
Les disputes sur la relligion firent que le {f.14v} gouvernement ne fut plus une constitution pour vivre selon les loix, mais une conjuration de ceux qui penserent d’une facon contre ceux qui pensoint d’une autre facon sorte de mal que nous devons a nos temps modernes et dont les politiques anciens ne nous parlent pas :
|
Main principale M |
913 |
n1. |
Cf. LP, 58 (60), p. 290-291, l. 21-27. |
914 |
n1. |
« Par un accroissement imperceptible » (traduction de Montesquieu, dans Collectio juris, OC, t. 11, p. 428). Dans le droit romain, une portion de terre ajoutée progressivement et imperceptiblement à une propriété par les dépôts d’un cours d’eau est considérée comme acquise (Digeste, 41, 1, 7, 1). |
914 |
n2. |
Philippe d’Orléans, le Régent. |
914 |
n3. |
Faramond était considéré comme le premier roi de France (Mézeray, Histoire de France, depuis Faramond jusqu’à maintenant, Paris, M. Guillemot, 1643-1651, 3 vol.). |
915 |
n1. |
Lors de la deuxième guerre punique (218 av. J.-C.), les Romains, instruits des négociations entre le général carthaginois et les Gaulois de la Gaule cisalpine pour l’obtention du passage jusqu’aux Alpes, leur envoyèrent des ambassadeurs pour former une ligue visant à fermer le passage à Annibal. La proposition fut reçue par des rires (Tite-Live, XXI, 20). |
915 |
n2. |
Cf. Romains, XXIII, p. 282 ; Anne Comnène, Histoire de l’empereur Alexis, dans Histoire de Constantinople depuis le règne de l’ancien Justin jusqu’à la fin de l’Empire. Traduite sur les originaux grecs par M. Cousin […] [1672-1674], Paris, D. Foucault, 1685, t. IV, X, 10, 6. |
917 |
n1. |
Le début de l’article viendra s’intégrer au chapitre de L’Esprit des lois intitulé « Que la religion catholique convient mieux à une monarchie et que la protestante s’accommode mieux d’une république » (XXIV, 5). |