Purpura [la pourpre1Sur la pourpre ou murex (Murex Linné, 1758), voir s. v. Murix.] [+][VB 17, 82 De purpura [-]][+] [+][VB 17, 83 De medicinis ex purpura [-]][+]
Purpura [+][VB 17, 82 De purpura [-]][+] [+][VB 17, 83 De medicinis ex purpura [-]][+]
Renvois internes : Purpura : cf. Barchora, ch. 12 ; Karkora, ch. 45 ; Murix,
ch. 58.
Lieux parallèles : TC, De
purpuris (7, 60) ; AM, [Purpura] (24, 91
(46)).
[1] [•] VB 17, 82, 1-2D’après le Liber de natura
rerum. [•] TC 7, 60,
1-3Les pourpres sont des coquillages marins qui s’agglutinent au printemps et, en
se frottant, sécrètent un liquide par leur bouche. [•] TC 7, 60, 2Les
murex font de même, au lever du Chien2Le terme canis désigne la constellation du Grand
Chien., pendant trente jours. En se frottant les unes
contre les autres, elles sécrètent une sorte de cire visqueuse, et
les murex font de même3Pour une distinction entre pourpre et murex,
voir De Saint-Denis 1947, 92. Selon Kitchell & Resnick 1999,
1694, n. 242, il serait vain de tenter de différencier les deux
animaux ; dans le même sens, voir D’Arcy Thompson 1947,
209-217. . [•] Plin.
nat. 9, 126On essaie de capturer
les pourpres vivantes, parce qu’elles laissent échapper ce
suc en expirant. On l’extrait des plus gros coquillages après avoir ôté leur coquille ; mais on
écrase les plus petits avec leur coquille. C’est de cette façon
seulement que les Tyriens recueillent leur bave. [•] Plin. nat. 9, 128La langue de la pourpre est de la longueur d’un doigt et lui permet de
se nourrir en perforant les autres coquillages, tant la pointe en est dure. Les pourpres périssent dans l’eau douce, de même que si
elles sont plongées dans un fleuve. Autrement, une fois prises,
elles vivent de leur eau pendant cinquante jours. [•] TC 7, 60, 4-10Les
coquilles de ces animaux marins atteignent leur plein
développement en moins d’une année ; mais, s’ils prolongent leur
croissance, ils perdent leur instinct sexuel et ne peuvent plus
s’accoupler pour produire au bon moment leur précieux liquide.
Pour cette raison, on met le plus grand soin à leur ôter leur
coquille dès la première année ou on la brise afin qu’elle ne se
développe plus. C’est avec ce liquide qu’on teint ordinairement
les vêtements de pourpre, couleur qui brille comme une rose aux
reflets noirs. [•] VB 17, 82,
2Selon Pline, [•] TC 7, 60, 4-10on
prend les pourpres grâce à de petits appâts à l’odeur fétide ; et,
quand ils sont à demi morts, ils reprennent vie quand on les
rejette à la mer.
[1] [•] VB 17, 82, 1-2Ex Libro de naturis rerum2La seule source
indiquée par l’Hortus sanitatis pour la
notice descriptive qui précède les operationes est Thomas de Cantimpré, tandis
que Vincent de Beauvais avait présenté successivement un
paragraphe marqué au nom de Pline, puis un à celui de Thomas
de Cantimpré. L’auteur de l’Hortus
sanitatis a donc réorganisé la matière, qu’il n’attribue
qu’à Thomas de Cantimpré, en puisant dans les deux paragraphes
de Vincent de Beauvais ce qui lui semblait redondant, mais en
ne modifiant qu’à peine la structure des
phrases.. [•] TC 7, 60,
1-3Purpurae sunt conchae marinae quae verno tempore congregantur et
attritae3attricae 1536. liquorem ore salivant. [•] TC 7, 60, 2Similiter et4similiter et : latent sicut VB. murices circa canis ortum tricenis diebus. Mutuoque
attritu lentore5lentorem
VB. cujusdam cerae salivant,
similiter et murices. [•] Plin. nat. 9, 126
— Viuas
capere contendunt, quia cum uita sucum eum euomunt. Et maioribus
quidem purpuris detracta concha auferunt, minores cum testa uiuas
frangunt, ita demum eum expuentes.Purpuras autem6ac 1491 Prüss1 del. 1536 aut VB2. vivas capere contendunt, quia cum
vita sua succum illum evomunt et majoribus quidem conchis detracta
concha auferunt, minores vero cum testis frangunt, ita demum rorem
eum excipientes Tyrii7tiry 1491 Prüss1.. [•] Plin. nat. 9, 128
— Lingua purpurae longitudine digitali, qua pascitur
perforando reliqua conchylia ; tanta duritia aculeo est. Aquae
dulcedine necantur et sicubi flumen inmergitur ; alioqui captae et
diebus quinquagenis uiuont saliua sua.Lingua
purpurae longitudine digitali, qua pascitur perforando
reliqua conchilia, tanta8post tanta hab. est VB.
aculeo duritia. Aqua dulci9Aristote pour sa part faisait référence à
l’eau de pluie et non à celle des fleuves (Arist. HA 603 a 12-16 MS : aqua pluvie convenit omnibus testei corii preter
corcoraz et significacio super hoc est quod si posuerit istum
piscem in loco, in quo decurrit aqua pluvie et gustaverit ex ea,
morietur illa die. Et karkora, postquam deprehenditur, vivit multo
tempore). enecantur et sicubi flumini immerguntur
alioquin captae10capitae
1536. etiam diebus quinquagenis
vivunt saliva sua. [•] TC 7, 60, 4-10Horum piscium11Depuis ces mots jusqu’à la
fin du paragraphe, le texte de Thomas de Cantimpré est ici recopié
presque à l’identique. conchae infra annum magnitudinem
implent ; quod si ante in crescendo transcurrant, vim libidinis
auferunt nec ultra coire possunt, ut in tempore pretiosum liquorem
pariant. Unde summa diligentia primo anno detrahun[Prüss1/vue 36] tur eis conchae vel confringuntur ne
crescant12crescat 1536.. Hoc liquore vestis purpurea
tingi solet ; qui color nigricantis13nigrantis VBd. rosae14Voir Plin. nat. 9, 126 : nigrantis rosae colore. more sublucet.
Purpurae, [•] VB 17, 82, 2secundum Plinium15La référence à Pline ne
vient pas de Thomas de Cantimpré : elle a été ajoutée par Vincent
de Beauvais. Voir Plin. nat. 9, 132 : Has semineces, sed redditas mari auido hiatu
reuiuescentes, appetunt purpurae porrectisque linguis
infestant., [•] TC 7, 60, 4-10fetidis odoribus capiuntur, et cum semineces fuerint, mari
redditae reviviscunt.
Propriétés et
indications
Operationes
[2] [•] VB 17, 83, 1A. Pline, livre 33. [•] Plin. nat. 32,
66Les pourpres sont de bons contrepoisons. [•] Plin. nat. 32, 68La cendre de leur coquille, mélangée à du miel, peut être
appliquée, de manière profitable, sur les ulcères de la
tête.
[2] [•] VB 17, 83, 1A. Plinius, libro XXXIII16L’auteur de l’Hortus
sanitatis n’a pas corrigé l’erreur commise par Vincent de
Beauvais à propos du livre de Pline.. [•] Plin. nat. 32, 66
— Purpurae
quoque contra uenena prosunt.Purpurae contra venena prosunt. [•] Plin. nat. 32, 68
— Capitis ulceribus muricum
uel purpurarum testae cinis cum melle utiliter inlinitur.Horum17harum VB.
testae cinis utiliter cum melle illinitur ulceribus
capitis.
[3] [•] VB 17, 83, 1B. [•] Plin.
nat. 32, 65Cette cendre, mélangée à
du miel, soigne encore efficacement les seins de la femme4Cette propriété est en réalité,
chez Pline, attribuée à la cendre de coquille d’huître, ostreum (du terme ostrum, « teinture tirée d’un coquillage », on
a sans doute hâtivement conclu que l’appellation ostreum désignait la pourpre, alors que
l’auteur de l’Histoire naturelle restreint
son usage à l’huître). En revanche, la coquille de la pourpre a
pour vertu de soigner les taches (maculae)
sur le visage des femmes ; voir Plin. nat. 32, 84 : Muricum uel conchyliorum testae cinis maculas in
facie mulierum purgat cum melle inlitus, « La cendre de la
coquille des murex ou des coquillages à pourpre efface, si on
l’applique avec du miel, les taches sur le visage des femmes ».
Voir Murix, ch. 58, 5..
[3] [•] VB 17, 83, 1B. [•] Plin. nat. 32, 65
— Testae ostreorum cinis uuam sedat et tonsillas
admixto melle, eodem modo parotidas, panos mammarumque
duritias.Idem quoque cinis cum melle
efficaciter sanat mulierum mammas.
[4] [•] VB 17, 83, 1C. [•] Plin.
nat. 32, 106Cette cendre combat
aussi contre les tumeurs5Sur le terme latin panus, i, m : tumeur,
voir Cancer, ch. 16, 7, note
philologique. de deux manières qu’il faille dissoudre les
tumeurs commençantes ou liquider les tumeurs mûres. [•] Plin. nat. 32, 84Chez les pourpres et les murex, les espèces les plus efficaces sont les plus
petites, et elles entretiennent une bonne haleine6Voir Plin. nat. 32, 84 : « Au genre du murex
appartiennent les coquillages que les Grecs appellent coluthies ou encore coryphies, également turbinés, mais plus
petits, beaucoup plus efficaces ; ils entretiennent aussi une
bonne haleine » (De Saint-Denis 1966a, 50). Comme Vincent de
Beauvais ne reprend pas le détail essentiel apporté par Pline, il
attribue au murex ou à la purpura la propriété d’un autre coquillage,
espèce de pourpre, à propos desquels De Saint-Denis 1966a, 131, §
147, 2, précise que ce sont des univalves spiralés. Voir encore
D’Arcy Thompson 1947, 122..
[4] [•] VB 17, 83,
1C. [•] Plin. nat. 32, 106
— At
echinorum testae contusae et ex aqua inlitae incipientibus panis
resistunt, muricum vel purpurarum cinis utroque modo.Pannis18panis 1536. etiam resistit utroque modo idem
cinis19Nous avons
corrigé la présentation de la citation de Plin. nat. 32, 106, dont le
début, dans les éditions anciennes, se trouve placé à la fin de
l’operatio B (Panis etiam
resistit utroque modo), tandis que l’operatio C commence avec les mots Idem cinis., sive opus sit incipientes
discutere, sive coctos emittere. [•] Plin. nat. 32, 84
— Muricum generis sunt quae uocant Graeci coluthia,
alii coryphia, turbinata aeque, sed minora, multo efficaciora,
etiam oris halitum custodientia.Purpurarum sive muricum minora genera sunt efficaciora et oris halitum
custodientia.
[5] [•] VB 17, 83, 2D. Dioscoride. [•] Diosc. 503 GVLa pourpre maritina est aussi
appelée blata, parce qu’elle se présente
comme un petit caillot de sang7Pour le nom
blata donné à la pourpre maritina, voir TLL II,
2050, 62-84 – 2051, 1-12, s. v. Blatta (2).
Le nom blatta, ae,
vient du grec βλάττη et désigne le caillot de sang mais aussi la
pourpre. Il faut le distinguer de blatta,
ae, « la blatte », dont l’origine est
incertaine.. Elle a la propriété de dessécher. C’est
pourquoi, réduite en poudre et appliquée sur les abcès des
gencives, elle les vide et accélère la cicatrisation.
[5] [•] VB 17, 83, 2D. Dioscorides20L’auteur de l’Hortus
sanitatis a jugé bon de fractionner la citation de
Dioscoride trouvée chez Vincent de Beauvais en plusieurs operationes.. [•] Diosc. 503 GV
— Purpura maritima, quam
alii blactam bizantiam appellant eo quod in Bizantio primum est
inventa, que ideo blacta appellatur eo quod quasi blactula
sanguinis apparet. Hujus virtus sicca est. Unde putrida vulnera
gingivarum in pulvere redacta et cicatrizat […].Purpura maritima21maritina 1491 Prüss1 1536. et blata appellatur, quia quasi blitula sanguinis apparet.
Hujus virtus sicca est. Unde vulnera putrida gingivarum in
pulverem redacta et imposita purgat et cycatrizat22cicatrizat 1536 VBd cicatrisat VB2..
[6] [•] VB 17, 83, 2E. [•] Diosc. 503 GVEt si
une excroissance de chair apparaît sur les gencives, la pourpre, appliquée sous forme de poudre, la ronge et la
fait disparaître. Son opercule8Vngula, l’« ongle »,
c’est-à-dire l’opercule dur et translucide qui bouche la
coquille., une fois brûlé, a aussi cette
propriété.
[6] [•] VB 17, 83, 2E. [•] Diosc. 503 GV
— […] et si
in eis mala caro supervenit pulverisata adhibita depascit et
extirpat. Hoc et ejus ungule combuste faciunt.Et si in eis mala caro supercreverit, pulverizata23pulverisata VB2. adhibita
depascit eam et extirpat. Hoc et ejus ungulae combustae
faciunt.
[7] [•] VB 17, 83, 2F. [•] Diosc. 503 GVCet
opercule ainsi que la membrane blanche de la coquille ont, quand
on les brûle, l’odeur du castoreum, et on
soulage les femmes qui souffrent d’affections de la matrice en
soumettant celles-ci à leur fumée.
[7] [•] VB 17, 83, 2F. [•] Diosc. 503 GV
— Ungule
eedem et cooperculum conchilii album fumigata fuerit odorem habent
castorei quae fumigatione sua stericis offocationibus laborantes
liberant.Eaedem ungulae et coopertorium
conchilii24conchylii VBd ut semper.
album fumigata castorei odorem habent ac fumigatione sua
stericis25Stericis : lire ici hystericis, « qui concerne la matrice ».
suffocationibus26offocationibus 1491
Prüss1 effocationibus VB. laborantes liberant.
[8] [•] VB 17, 83, 2G. [•] Diosc. 503 GVLes
pourpres soignent les épileptiques. Prises en boisson,
elles relâchent le ventre. La coquille elle-même, une fois brûlée,
possède toutes les propriétés dites ci-dessus.
[8] [•] VB 17, 83, 2G. [•] Diosc. 503 GV
— Epilenticos curant. Bibita ventrem movent. Ipsum
conchilium combustum omnia superius facere novit.Epilenticos27epylenticos VB2 epilepticos VBd. curant. Bibita ventrem movent.
Conchilium ipsum combustum omnia supra dicta facere28facere post
novit hab. Prüss1 1536. novit.
~
1Sur la pourpre ou murex (Murex Linné, 1758), voir s. v. Murix.
2Le terme canis désigne la constellation du Grand
Chien.
3Pour une distinction entre pourpre et murex,
voir De Saint-Denis 1947, 92. Selon Kitchell & Resnick 1999,
1694, n. 242, il serait vain de tenter de différencier les deux
animaux ; dans le même sens, voir D’Arcy Thompson 1947,
209-217.
4Cette propriété est en réalité,
chez Pline, attribuée à la cendre de coquille d’huître, ostreum (du terme ostrum, « teinture tirée d’un coquillage », on
a sans doute hâtivement conclu que l’appellation ostreum désignait la pourpre, alors que
l’auteur de l’Histoire naturelle restreint
son usage à l’huître). En revanche, la coquille de la pourpre a
pour vertu de soigner les taches (maculae)
sur le visage des femmes ; voir Plin. nat. 32, 84 : Muricum uel conchyliorum testae cinis maculas in
facie mulierum purgat cum melle inlitus, « La cendre de la
coquille des murex ou des coquillages à pourpre efface, si on
l’applique avec du miel, les taches sur le visage des femmes ».
Voir Murix, ch. 58, 5.
5Sur le terme latin panus, i, m : tumeur,
voir Cancer, ch. 16, 7, note
philologique.
6Voir Plin. nat. 32, 84 : « Au genre du murex
appartiennent les coquillages que les Grecs appellent coluthies ou encore coryphies, également turbinés, mais plus
petits, beaucoup plus efficaces ; ils entretiennent aussi une
bonne haleine » (De Saint-Denis 1966a, 50). Comme Vincent de
Beauvais ne reprend pas le détail essentiel apporté par Pline, il
attribue au murex ou à la purpura la propriété d’un autre coquillage,
espèce de pourpre, à propos desquels De Saint-Denis 1966a, 131, §
147, 2, précise que ce sont des univalves spiralés. Voir encore
D’Arcy Thompson 1947, 122.
7Pour le nom
blata donné à la pourpre maritina, voir TLL II,
2050, 62-84 – 2051, 1-12, s. v. Blatta (2).
Le nom blatta, ae,
vient du grec βλάττη et désigne le caillot de sang mais aussi la
pourpre. Il faut le distinguer de blatta,
ae, « la blatte », dont l’origine est
incertaine. Elle a la propriété de dessécher. C’est
pourquoi, réduite en poudre et appliquée sur les abcès des
gencives, elle les vide et accélère la cicatrisation.
8Vngula, l’« ongle »,
c’est-à-dire l’opercule dur et translucide qui bouche la
coquille.
~
1caput 73 1536.
2La seule source
indiquée par l’Hortus sanitatis pour la
notice descriptive qui précède les operationes est Thomas de Cantimpré, tandis
que Vincent de Beauvais avait présenté successivement un
paragraphe marqué au nom de Pline, puis un à celui de Thomas
de Cantimpré. L’auteur de l’Hortus
sanitatis a donc réorganisé la matière, qu’il n’attribue
qu’à Thomas de Cantimpré, en puisant dans les deux paragraphes
de Vincent de Beauvais ce qui lui semblait redondant, mais en
ne modifiant qu’à peine la structure des
phrases.
3attricae 1536.
4similiter et : latent sicut VB.
5lentorem
VB.
6ac 1491 Prüss1 del. 1536 aut VB2.
7tiry 1491 Prüss1.
8post tanta hab. est VB.
9Aristote pour sa part faisait référence à
l’eau de pluie et non à celle des fleuves (Arist. HA 603 a 12-16 MS : aqua pluvie convenit omnibus testei corii preter
corcoraz et significacio super hoc est quod si posuerit istum
piscem in loco, in quo decurrit aqua pluvie et gustaverit ex ea,
morietur illa die. Et karkora, postquam deprehenditur, vivit multo
tempore).
10capitae
1536.
11Depuis ces mots jusqu’à la
fin du paragraphe, le texte de Thomas de Cantimpré est ici recopié
presque à l’identique.
12crescat 1536.
13nigrantis VBd.
14Voir Plin. nat. 9, 126 : nigrantis rosae colore.
15La référence à Pline ne
vient pas de Thomas de Cantimpré : elle a été ajoutée par Vincent
de Beauvais. Voir Plin. nat. 9, 132 : Has semineces, sed redditas mari auido hiatu
reuiuescentes, appetunt purpurae porrectisque linguis
infestant.
16L’auteur de l’Hortus
sanitatis n’a pas corrigé l’erreur commise par Vincent de
Beauvais à propos du livre de Pline.
17harum VB.
18panis 1536.
19Nous avons
corrigé la présentation de la citation de Plin. nat. 32, 106, dont le
début, dans les éditions anciennes, se trouve placé à la fin de
l’operatio B (Panis etiam
resistit utroque modo), tandis que l’operatio C commence avec les mots Idem cinis.
20L’auteur de l’Hortus
sanitatis a jugé bon de fractionner la citation de
Dioscoride trouvée chez Vincent de Beauvais en plusieurs operationes.
21maritina 1491 Prüss1 1536.
22cicatrizat 1536 VBd cicatrisat VB2.
23pulverisata VB2.
24conchylii VBd ut semper.
25Stericis : lire ici hystericis, « qui concerne la matrice ».
26offocationibus 1491
Prüss1 effocationibus VB.
27epylenticos VB2 epilepticos VBd.
28facere post
novit hab. Prüss1 1536.