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Pensées 1405 à 1409

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M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

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M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.

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Pensées, volume II

1405

[Passage à la main M] J’apelle la devotion une maladie du corps qui donne a l’ame une folie dont le caractere est d’estre la plus incurable de toutes.

- - - - -

Passage de la main H à la main M

1406

I said I saidJe disois of madame d’Eguillon[1] qu’elle estoit tantost un songe tantost un delire

- - - - -

Main principale M

1407

Je disois de Mr d’Orleans regent qu’il avoit fait ledu bien mais qu’il ne faisoit pas le bien[1] :

- - - - -

Main principale M

1408

Je disois que la chaire[1] s’epuisoit plus que le theâtre parce que les vices

Vices ne changent pas comme les ridicules

ne chang[e]oint pas comme les ridicules :

- - - - -

Main principale M

1409

{f.203v} Je disois a un homme caché « Montres moy votre vray visage [»] :

- - - - -

Main principale M

1406

n1.

Voir nº 1370, 1393, 1394.

1407

n1.

Sur le portrait du Régent, voir nº 173, 1396.

1408

n1.

L’éloquence sacrée.