M : | Montesquieu 1726/1727-1755. |
D : | Bottereau-Duval 1718-1731. |
E : | 1734-1739. |
U : | 1739. |
H : | 1741-1742. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
I : | 1743. |
L : | 1743-1744. |
O : | 1745-1747. |
P : | Damours 1748-1750. |
Q : | 1750-1751. |
R : | Saint-Marc 1751-1754. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
JB : | Jean-Baptiste Secondat ?-1795. |
T : | écriture des manchettes 1828-1835 |
M : | Montesquieu. |
D : | Bottereau-Duval_1721-1731. |
H : | 1741-1742. |
P : | Damours_1748-1750. |
E : | 1734-1739. |
L : | 1742-1744. |
O : | 1745-1747. |
T : |
écriture des manchettes |
JB : | Jean-Baptiste_Secondat. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
E2 : | |
I : | 1743. |
R : | Saint-Marc_1751-1754. |
Q : | 1750-1751. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
Pensées, volume III
1955 (1) L. 1º Virgile dit d’Ascaigne[1]
Qualis gemma m micat fuluvum quæ dividit aurum[2] cui fibre pecudum cœli cui sidera parent Virg. l 1º Mr Faulquer[3]. Je disois les traits saillants ne doivent etre que sur les tissus d’or[4], ils sont pueriles, lorsque le sujet est puerile. Le P. Porrée[5]. Comme cette piere precieuse qui separe l’or d’avec l’or
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Main principale P |
Main principale P |
1957 Le pere Pozzi a la galerie de Florence
Vous diries qu’il veut occuper toute la salle et en chasser tous ces gens la[1].
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Main principale P |
1958 Le moindre frere j. avoit l’habit du pere Le Tellier et il falloit compter avec luy : Basrjac ne disoit-il pas nous sommes venus icy de notre chef[1].
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Main principale P |
1959 Je disois ceux qui pour contenir les jesuites les obligerent à tenir toujours un des leurs a la cour ne connoissoit guêres la cour ny les jesuites, puisqu’ils crurent qu’ils les abaisseroient par la.
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Main principale P |
1955 |
n1. |
Ascagne, fils d’Énée. |
1955 |
n2. |
« Il a l’éclat d’une gemme sertie dans l’or fauve » (Virgile, Énéide, X, 134, A.-M. Boxus et J. Poucet (trad.), traduction en ligne à l’adresse suivante : http://bcs.fltr.ucl.ac.be/Virg/VirgIntro.html). |
1955 |
n3. |
Sur la partie biffée, cf. nº 1953. |
1955 |
n4. |
La formule est à rapprocher d’une citation de l’Art poétique d’Horace insérée dans la préface du Temple de Gnide, qui vise des ornements déplacés par le thème et le ton (OC, t. 8, p. 390, l. 17). |
1955 |
n5. |
Le père Porée, S. J., professeur au collège Louis-le-Grand (1676-1741), a laissé un célèbre discours prononcé le 25 février 1736, dont rendent compte les Mémoires pour l’histoire des sciences et des beaux-arts (ou Journal de Trévoux, voir ci-dessus nº 1954) dans le numéro de juillet 1736 (p. 451 et suiv.), dans lequel il critiquait, avec la contamination des grands genres (tragédie, histoire) par les puérilités du goût romanesque, le genre du roman dans son ensemble. |
1956 |
n1. |
Voir nº 1954. Montesquieu a gardé cette réponse pour lui car il limitera l’échange avec l’organe jésuite à propos de L’Esprit des lois à un point d’érudition, éludant le débat théologique qu’il réserve aux Nouvelles ecclésiastiques ; voir DEL, p. 116-117. |
1957 |
n1. |
Montesquieu reprend une formulation proche de celle de ses notes de voyage (Voyages, p. 580) ; il a vu l’autoportrait du peintre jésuite Andrea Pozzo (et non « Pozzi ») (1642-1709) lors de son séjour à Florence, du 1er décembre 1728 au 15 janvier 1729, dans la galerie du Grand-Duc, aujourd’hui des Offices (Autoritratto col modello su tela per la cupola di Sant’Ignazio a Roma, Corridor de Vasari), et le mentionne ici comme allégorie de la volonté hégémonique de son ordre. L’artiste jésuite avait exalté l’œuvre ignatienne par des prouesses de perspective dans la fausse coupole et la voûte de l’église de Saint-Ignace à Rome, dont le modèle sur toile est désigné par l’artiste dans cet autoportrait. |
1958 |
n1. |
La remarque vise ceux qui se prévalent de leur proximité avec le pouvoir, comme les jésuites profitant de l’influence du père Le Tellier, confesseur de Louis XIV. Selon Soulavie, Barjac, premier valet de chambre du cardinal Fleury, prenait le ton d’un homme important et parlait des affaires de son maître à la première personne : voir [Soulavie], Mémoires du Maréchal Duc de Richelieu, Londres – Marseille – Paris, J. de Boffe – Mossy – Buisson, 1790, t. IV, p. 49-50. |