M : | Montesquieu 1726/1727-1755. |
D : | Bottereau-Duval 1718-1731. |
E : | 1734-1739. |
U : | 1739. |
H : | 1741-1742. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
I : | 1743. |
L : | 1743-1744. |
O : | 1745-1747. |
P : | Damours 1748-1750. |
Q : | 1750-1751. |
R : | Saint-Marc 1751-1754. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
JB : | Jean-Baptiste Secondat ?-1795. |
T : | écriture des manchettes 1828-1835 |
M : | Montesquieu. |
D : | Bottereau-Duval_1721-1731. |
H : | 1741-1742. |
P : | Damours_1748-1750. |
E : | 1734-1739. |
L : | 1742-1744. |
O : | 1745-1747. |
T : |
écriture des manchettes |
JB : | Jean-Baptiste_Secondat. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
E2 : | |
I : | 1743. |
R : | Saint-Marc_1751-1754. |
Pensées, volume I
401 Vous
Ecole de Venise |
Main principale M |
402 Je
Contours |
Main principale M |
403 Ordre rustique Que s’il n’y a que le premier ordre de rustique il faut que le second soit toscan dorique et avec le moins d’ornemens qu’il soit possible car l’oeil ne peut passer de la grossiereté du toscan rustique a la gentilesse de quelque ordre de l’ionique ou du chorinthien.
|
Main principale M |
404 Quand une fenestre est plassée trop haut on peut faire sortir beaucoup une console en avant corps, ce qui la fera paroitre
(1) Ainsi quand une fasse de batiment est sur une rue large l’autre face sur une r [...] |
Main principale M |
405 Voyés ce que j’ay dit dans mon ouvrage sur le gout sur le clair obscur deans la peinture sculpture architecture[1] :
|
Main principale M |
401 |
n1. |
Surnom de Domenico Zampieri (1581-1641), élève des Carrache : voir Voyages, p. 244, 264, 279, 325, etc. |
401 |
n2. |
Guido Reni (1575-1642) ; voir Voyages, p. 244, 250, 264, etc. |
401 |
n3. |
Probablement Annibal Carrache (1560-1609) de « l’ecole de Lombardie » (Spicilège, nº 461), qui a réalisé, avec son frère Augustin, la décoration du palais Farnèse, les peintures « admirables » de la villa Montalte (Voyages, p. 209, 237, 264, 286, 325, 356), plutôt que son cousin Louis (1555-1619) dont les tableaux et fresques énumérés suscitent moins de commentaires de la part de Montesquieu (ibid., p. 357, 363, 364 ; voir Jean Ehrard, Montesquieu critique d’art, Paris, PUF, 1965, p. 108-109). |
401 |
n4. |
Jean-Baptiste Rousseau, le poète (1671-1741). Première trace d’un parallèle entre peintres et écrivains : cf. nº 1198 et 1215. |
401 |
n5. |
Les peintres vénitiens excellent « dans le coloris », auquel Montesquieu semble moins sensible qu’au dessin (Spicilège, nº 461 ; Jean Ehrard, Montesquieu critique d’art, Paris, PUF, 1965, p. 26, 28). À Padoue il critique Tintoret (« Lintoret ») pour des « attitudes forcées » (Voyages, p. 150). |
402 |
n1. |
Parmi les sculptures canoniques admirées par Montesquieu en Italie (Voyages, p. 548-549), l’Apollon, dit du Belvédère, se trouvait au Vatican (ibid., p. 274), l’Hercule, dit Farnèse, était conservé, à l’époque, à Rome, dans le palais du même nom (ibid., p. 266, 323), le « petit faune », aujourd’hui Satyre aux cymbales, se trouvait dans la Galerie du Grand-duc, statue pouvant servir d’« exemple pour les muscles grossiers et confus » (ibid., p. 572-573). |
403 |
n1. |
En architecture, à côté des cinq ordres canoniques (dorique, corinthien etc.), le rustique désigne une forme de colonne « avec des refends et des bossages » (Thomas Corneille, Le Dictionnaire des arts et des sciences, Paris, J.-B. Coignard, 1694, art. « Ordre »). |
404 |
n1. |
À lire après l’appel (1) de la page suivante. |
405 |
n1. |
L’Essai sur le goût n’offre aucun développement sur le clair-obscur. Voir nº 397, note 1 et 399, note 1. |