Afficher Masquer
Passages biffés :
Sauts de pages :
Changements de mains :
Mots clés en marge
(main T) :
DistinguerIntégrer
Corrections du transcripteur :

Fermer

Accueil|Présentation du projet|Abréviations|Introductions|Texte|Index

Français|English Contacts

Volume I|Volume II|Volume III|Citer le texte et les notes| Écritures|Affichage

Pensées 783 à 787

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

Fermer

M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.

Fermer

Pensées, volume I

783

Ministres

Les ministres travaillent toujours contre la liberte ils haissent les loix parce qu’elles gesnent toutes leurs passions :

Main principale M

784

Nations policées

Les nations libres sont des nations policees celles qui vivent dans la servitude sont des nations polies :

- - - - -

Main principale M

785

Mérite persoñel

Quand dans une nation la naissance et les dignites ne donnent point d’empire, chacun cherche un empire naturel qui est celui du merite personel :

Main principale M

786

{p.510} Choses frivoles qui ne donnent rien a ceux qui en jouissent et degradent ceux qui s’en occupent :

- - - - -

Main principale M

787

Henry 8

Je ne suis pas etoné qu’Henry huit eut une puissance tyranique[1] c’estoit dans le moment où la puissance de la noblesse venoit d’estre abolie et où celle du peuple comença a prendre le dessus. Dans cet intervale le roy devint tyran[2] :

- - - - -

Main principale M


787

n1.

Cf. nº 373, 583, 626 ; Spicilège, nº 450 ; EL, XII, 10.

787

n2.

Cf. L’Esprit des lois : « […] le point de l’extrême servitude aurait été entre le moment de l’abaissement des grands, et celui où le peuple aurait commencé à sentir son pouvoir » (XIX, 27 : Derathé, t. I, p. 351).