M : | Montesquieu 1726/1727-1755. |
D : | Bottereau-Duval 1718-1731. |
E : | 1734-1739. |
U : | 1739. |
H : | 1741-1742. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
I : | 1743. |
L : | 1743-1744. |
O : | 1745-1747. |
P : | Damours 1748-1750. |
Q : | 1750-1751. |
R : | Saint-Marc 1751-1754. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
JB : | Jean-Baptiste Secondat ?-1795. |
T : | écriture des manchettes 1828-1835 |
M : | Montesquieu. |
D : | Bottereau-Duval_1721-1731. |
H : | 1741-1742. |
P : | Damours_1748-1750. |
E : | 1734-1739. |
L : | 1742-1744. |
O : | 1745-1747. |
T : |
écriture des manchettes |
JB : | Jean-Baptiste_Secondat. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
E2 : | |
I : | 1743. |
R : | Saint-Marc_1751-1754. |
Pensées, volume II
963
[Passage à la main M] Voir Ostendanae obsidionis diarium[1]
|
Passage de la main E à la main M |
964
[Passage à la main E] Cette suitte continuelle de vexations que l’avidité subtile des empereurs avoient imaginé ne se virent soumis qu’a un tribut simple payé aisement reçu de même ce qui fut sans doute la cause de la facilité qu’ils trouvoient dans leurs conquêtes[1]
- - - - - |
Passage de la main M à la main E |
965 Aprés que le souverein a fait les loix les plus impartiales et les plus generales qu’il a pu
Princes - - - - - |
Main principale E |
966 On pourrait croire que Dieu qui aime les hommes et qui ne s’embarrasse pas si la religion est quand au pouvoir exterieur dans la gloire ou dans l’humiliation parce que dans l’un et l’autre cas elle est egalement propre a faire son effet naturel qui est de sanctifier[1] on {f.24r} pourroit croire déja que Dieu par amour pour la nature humaine soufrit pour lors l’affreuse inondation des mahometans dans l’empire afin de la delivrer de tant de tributs impots et maltôts qui s’y faisoient.
Les hommes furent etonnés de se voir sous un gouvernement ou ils ne virent ni avarice ny rapines ou au lieu de cette suitte continuelle de vexations que l’avidité subtile des empereurs avoit imaginée ne se virent soûmis qu’a un tribut simple payé aisément reçû de même ce qui fut sans doute la cause de la facilité qu’ils trouverent dans leurs conquêtes[2].
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Main principale E |
967 Une belle action
Une belle action |
Main principale E |
963 |
n1. |
Ce « journal du siège d’Ostende » en latin n’a pas été identifié ; sur cet épisode (1601-1604) de la guerre des Flandres, qui opposait l’Espagne aux Provinces-Unies, étaient parus en latin un Ostendanæ obsidionis breviculum ([Gaspard Ens], Annalium Mercurio Gallo-Belgico […], Cologne, G. Lutzenkirchen, 1606, t. V) et en français Le Journal du siège d’Ostende, contenant un particulier récit des mémorables exploits […], qui se donnait comme traduction de l’allemand (s. l., 1704), les ouvrages de Jérémie Périer (Histoire remarquable et véritable de ce qui s’est passé au siège de la ville d’Ostende, Paris, J. Périer, 1604), de Hendryk Van Haestens (La Nouvelle Troye ou Mémorable histoire du siège d’Ostende, Leyde, L. Elzevier, 1615) et de Christophe de Bonours (Mémorable siège d’Ostende, Bruxelles, J. de Meerbeck, 1628). |
964 |
n1. |
Cf. nº 966. |
966 |
n1. |
Cf. Romains, XXII, p. 265, l. 8-11. |
966 |
n2. |
Cf. EL, XIII, 16. |