M : | Montesquieu 1726/1727-1755. |
D : | Bottereau-Duval 1718-1731. |
E : | 1734-1739. |
U : | 1739. |
H : | 1741-1742. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
I : | 1743. |
L : | 1743-1744. |
O : | 1745-1747. |
P : | Damours 1748-1750. |
Q : | 1750-1751. |
R : | Saint-Marc 1751-1754. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
JB : | Jean-Baptiste Secondat ?-1795. |
T : | écriture des manchettes 1828-1835 |
M : | Montesquieu. |
D : | Bottereau-Duval_1721-1731. |
H : | 1741-1742. |
P : | Damours_1748-1750. |
E : | 1734-1739. |
L : | 1742-1744. |
O : | 1745-1747. |
T : |
écriture des manchettes |
JB : | Jean-Baptiste_Secondat. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
E2 : | |
I : | 1743. |
R : | Saint-Marc_1751-1754. |
Pensées, volume I
436 Malebranche |
Main principale M |
437
{p.387} Il
Commandemens supposent la liberté |
Main principale M |
438 Les Romains qui batirent des temples a la pudicité maternelle patriciene et a la pudicité plebeiene[1]ne croy pouvoit croire que la pudicité de leurs fames fut une deesse ils n’honoroint donc que la providence en tant qu’elle done aux fames la vertu de la chasteté. pudicité. Polignac
- - - - - |
Main principale M |
439 Il
Religieux - - - - - |
Main principale M |
440 Bonheur des Romains qui n’eurent jamais qu’[u]ne seule guerre et dont les enemis ne se liguerent jamais[1]. De facon qu’ils les opprimerent l’un apres l’autre, ils aug devenoint {p388}
Romains n’avoient jamais qu’une seule guerre - - - - - |
Main principale M |
436 |
n1. |
Fil de laiton ou de fer : voir Furetière, 1690, art. « Archal » ; cf. Voyages, p. 372. |
436 |
n2. |
Image empruntée à la Réflexions sur la prémotion physique (Paris, M. David, 1715, § XVIII, p. 158-159 – Catalogue, nº 1496). Il s’agit en réalité chez Malebranche de deux ou trois statues. |
437 |
n1. |
Calvin soutint la pleine et exclusive suffisance de la grâce : le salut est un don de Dieu, auquel l’homme et ses œuvres n’ont aucune part (Institutions chrétiennes, III, XXI, 1), position d’origine augustinienne radicalement opposée au pélagianisme. La notion de grâce suffisante ou congrue, chez les molinistes et chez Fénelon, supposant que l’homme est libre de participer à son salut, s’oppose à la doctrine de la prédestination en évitant le retour aux thèses de Pélage. |
438 |
n1. |
Voir Tite-Live, X, 23 ; cf. nº 864. |
440 |
n1. |
Cf. Romains, chap. VI, p. 131, l. 23-25 et chap. XIX, p. 248, l. 120-122 ; voir nº 49, note 1. Lieu commun, déjà signalé comme tel par Machiavel : « il est certain que ce Peuple n’eut jamais deux puissantes guerres à la fois sur les bras » (Discours politiques sur les décades de Tite-Live, N. Amelot de La Houssaye (trad.), Amsterdam, H. Desbordes, 1692, 2 vol., liv. II, chap. 1, p. 397 – Catalogue, nº 2400). |
440 |
n2. |
Tacite emploie une expression proche (« proeliis ambiguus, bello non victus » [incertain dans les combats, jamais vaincu à la guerre ; nous traduisons], Annales, II, 88, 2), qui s’applique à Arminius et non aux Romains, et que Josias Mercier, dans ses notes aux Annales (Cornelii Taciti Opera quae exstant. Justus Lipsius postremum recensuit, Paris, M. Orry, 1606, note 55, p. 4) a rapprochée de deux vers de Lucilius : « Ut populus Romanus victus vi, & superatus præliis /, saepe est multis ; bello vero numquam, in quo sunt omnia » [« Le peuple romain a souvent cédé à la force et perdu bien des batailles ; mais jamais la guerre, et tout est là » ; nous traduisons] ; ce qui pourrait expliquer, comme le suggérait Barckhausen dans son édition des Pensées, la formule de Montesquieu. |