M : | Montesquieu 1726/1727-1755. |
D : | Bottereau-Duval 1718-1731. |
E : | 1734-1739. |
U : | 1739. |
H : | 1741-1742. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
I : | 1743. |
L : | 1743-1744. |
O : | 1745-1747. |
P : | Damours 1748-1750. |
Q : | 1750-1751. |
R : | Saint-Marc 1751-1754. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
JB : | Jean-Baptiste Secondat ?-1795. |
T : | écriture des manchettes 1828-1835 |
M : | Montesquieu. |
D : | Bottereau-Duval_1721-1731. |
H : | 1741-1742. |
P : | Damours_1748-1750. |
E : | 1734-1739. |
L : | 1742-1744. |
O : | 1745-1747. |
T : |
écriture des manchettes |
JB : | Jean-Baptiste_Secondat. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
E2 : | |
I : | 1743. |
R : | Saint-Marc_1751-1754. |
Pensées, volume I
308
{p.328} Amis.
Amis Il y a encor des amis qui dans les accidens qui vous arrivent ou dans les fautes que vous faites ont une fausse pitie, de façon qu’à force de vous pleindre ils exagerent votre faute.
D’ailleurs pour faire voir qu’ils ont plus de sagesse que vous ils vous font paroitre ou opiniatres ou incorrigibles par les belles choses qu’ils disent de leur prevoyance ou par les discours salutai sages qu’ils pretendent vous avoir tenus
Si vous attrapes un bon ridicule contés que c’est un de vos bons amis qui vous l’a doné un autre ne s’en s’en doneroit pas seroit pas done la peine ou ne l’auroit pas senti
L’amitié est un contrat par lequel je m’engage nous nous engageons a rendre de petits services a quelqu’un affin qu’il nous en rende de grands.
|
Main principale M |
309
{p.329} Les louanges sont un discours par lequel on cherche a faire valoir paroitre son esprit ou son bon naturel(1)[1].
La critique La raillerie est un discours en faveur de son esprit contre son bon naturel, il n’y a que la plaisenterie qui soit tolérable
(1)Les louanges sont ou bien c’est une entreprise que l’on fait sur quelqu’un pour le decontenancer ou pour luilui faire paroitre paroit montrer son effronterie
- - - - - |
Main principale M |
310 Mort
Suicide Si avec la maniere de penser des Anglois sur la mort[1], les lois ou la relligion venoint a la favoriser il se feroit des ravages effroyables dans l’Angleterre.
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Main principale M |
311 Rien
Extraordre - - - - - |
Main principale M |
312
{p.330}
France Produit plusieurs denrées
Il faudroit
Ce qui est bien plus considerable
infr. 341 - - - - - |
Main principale M |
309 |
n1. |
Appel pour insérer : « ou bien [...] effronterie » |
309 |
n2. |
Nº 512. |
310 |
n1. |
Cf. nº 26. |
311 |
n1. |
Louis XIV a dansé sur scène plusieurs ballets de 1651 à 1661 (Philippe Beaussant, Louis XIV artiste, Paris, Payot, 1999, p. 19-24). |
312 |
n1. |
Pour accroître les excédents de sa balance commerciale, la France dispose de capacités de production de marchandises à l’intérieur de ses frontières et dans ses colonies, que d’autres puissances doivent se procurer à l’extérieur, comme les drogues, « produits qui viennent des pays exotiques et qui servent à la médecine, à la teinture et aux arts » (Jacques Savary des Bruslons, Dictionnaire universel de commerce, [Amsterdam], Jansons, 1726-1732, art. « Drogue »). |