M : | Montesquieu 1726/1727-1755. |
D : | Bottereau-Duval 1718-1731. |
E : | 1734-1739. |
U : | 1739. |
H : | 1741-1742. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
I : | 1743. |
L : | 1743-1744. |
O : | 1745-1747. |
P : | Damours 1748-1750. |
Q : | 1750-1751. |
R : | Saint-Marc 1751-1754. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
JB : | Jean-Baptiste Secondat ?-1795. |
T : | écriture des manchettes 1828-1835 |
M : | Montesquieu. |
D : | Bottereau-Duval_1721-1731. |
H : | 1741-1742. |
P : | Damours_1748-1750. |
E : | 1734-1739. |
L : | 1742-1744. |
O : | 1745-1747. |
T : |
écriture des manchettes |
JB : | Jean-Baptiste_Secondat. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
E2 : | |
I : | 1743. |
R : | Saint-Marc_1751-1754. |
Pensées, volume I
340
{p.339} Cause
Hollande |
Main principale M |
341
{p.340}
Moyen de payer les dettes de l’Etat |
Main principale M |
342
{p.341}
Commerce |
Main principale M |
343 Quoy que les nations qui n’ont point de manufacture en establissent il me semble que cela ne doit point allarmer celles qui en ont les ces premieres nations sont dans l’impuissance de s’habiller et il faut qu’elles fassent come les Hongrois qui portent quinze ans le mesme habit
Mis dans le 1r liv. sur le commerce[1] |
Main principale M |
344
{p.342}
Sardaigne
C’etoit la guerre de 1733. Celle de 1741 a rendü la sotise pau paumée, encore un coup de colier nous le rendrons maitre de l’Italie et il sera notre egal[2]
C’etoit la guerre de 1733. Celle de 1741 a rendü la sotise [...] |
Main principale M |
340 |
n1. |
Par les traités de barrière signés à Ryswick (1697), à La Haye (1709), à Utrecht (1713) et à Anvers (signé en 1715, ratifié en 1719), les Provinces-Unies avaient obtenu une série de forteresses où installer des garnisons (la « barrière ») pour se mettre à l’abri des incursions, ainsi que de la destruction de Dunkerque (Lucien Bély, Les Relations internationales en Europe : XVIIe-XVIIIe siècles, Paris, PUF, 1992, p. 372, 411, 427, 429). Montesquieu possédait L’Atlas nouveau du voyageur pour les dix sept provinces des Pays Bas […] de Nicolas Sanson père (Amsterdam, P. Mortier, s. d. [env. 1700] – Catalogue, nº 2606). |
341 |
n1. |
Cf. nº 252, note 1. Cet article fait suite au plan de redressement déjà évoqué au nº 301. |
341 |
n2. |
Un sol pour livre = 5 % ; 6 deniers pour livre = 2,5 % ; 3 deniers pour livre = 1,25 %. |
341 |
n3. |
Le marc d’or était une taxe (« redevance d’honneur ») perçue par le roi sur les offices, d’abord destinée à l’entretien des chevaliers de l’ordre du Saint-Esprit puis, à partir de 1720, aux officiers du Domaine. |
341 |
n4. |
Les pensions et les gratifications accordées par le roi. |
341 |
n5. |
Comprendre : la caisse d’amortissement. |
342 |
n1. |
Cf. nº 312. Ce système du « pacte colonial », selon lequel le monopole des échanges avec les colonies appartient exclusivement à la métropole, est admis par tous les États concernés ; voir Antonio García-Baquero González, La Carrera de Indias, histoire du commerce hispano-américain (XVIe-XVIIIe siècles) [1re éd. 1992], B. Bennassar (trad.), Paris, Desjonquères, 1997, p. 14-15. Montesquieu en fera une caractéristique de la colonisation par l’Europe moderne (EL, XXI, 21 : Derathé, t. II, p. 60.). |
342 |
n2. |
Il s’agit en particulier des navires construits en Nouvelle-Angleterre : voir Paul Butel, Européens et espaces maritimes (vers 1690-vers 1790), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, 1997, p. 56. |
343 |
n1. |
Montesquieu, selon la note marginale (écriture L, 1743-1744), avait prévu l’utilisation de cette idée dans le livre XX de L’Esprit des lois, transcrite finalement dans la séquence retranchée sur le commerce (Pensées, nº 1800 ; écriture P, 1748-1750). |
344 |
n1. |
Avec l’arrivée de Chauvelin aux Affaires étrangères (23 août 1727), s’est imposée l’idée d’un « équilibre italique », qui, par la présence dans la péninsule d’États égaux et puissants, comme le Piémont-Sardaigne, servirait la politique anti-autrichienne de la France (Lucien Bély, Les Relations internationales en Europe : XVIIe-XVIIIe siècles, Paris, PUF, 1992, p. 462). |
344 |
n2. |
Note du secrétaire L (1743-1744). Fin 1741, Charles-Emmanuel III, craignant la puissance espagnole en Italie et désireux d’obtenir Finale des Autrichiens (voir nº 313, note 1), soutint les prétentions de ces derniers. Par le traité de Worms (1743), moyennant la reconnaissance de la pragmatique sanction, il obtint de l’Autriche des concessions territoriales et une substantielle aide militaire, ce qui entraîna une rupture des relations diplomatiques avec la France (Lucien Bély, Les Relations internationales en Europe : XVIIe-XVIIIe siècles, Paris, PUF, 1992, p. 503). Une sottise pommée est une sottise complète en style familier (Académie, 1718, art. « Pommé ») |
344 |
n3. |
En 1733, l’armée française, sous le commandement de Villars, rejoignit l’armée sarde en Lombardie qu’elle livra à Charles-Emmanuel III. |