M : | Montesquieu 1726/1727-1755. |
D : | Bottereau-Duval 1718-1731. |
E : | 1734-1739. |
U : | 1739. |
H : | 1741-1742. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
I : | 1743. |
L : | 1743-1744. |
O : | 1745-1747. |
P : | Damours 1748-1750. |
Q : | 1750-1751. |
R : | Saint-Marc 1751-1754. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
JB : | Jean-Baptiste Secondat ?-1795. |
T : | écriture des manchettes 1828-1835 |
M : | Montesquieu. |
D : | Bottereau-Duval_1721-1731. |
H : | 1741-1742. |
P : | Damours_1748-1750. |
E : | 1734-1739. |
L : | 1742-1744. |
O : | 1745-1747. |
T : |
écriture des manchettes |
JB : | Jean-Baptiste_Secondat. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
E2 : | |
I : | 1743. |
R : | Saint-Marc_1751-1754. |
Q : | 1750-1751. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
Pensées, volume III
1877
{f.115v} Pour le livre 13. chap. 21[1]
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Main principale Q |
1878
{f.116v} Pour le livre 13.
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Main principale Q |
1879 {f.117v} La ChineLa Chine par la nature du pays ne peut gueres se diviser en plusieurs etats a moins qu’elle ne se divise come un fief et pour faire des parties d’un même corps. Il n’y a comme nous avons dit aucun pays dans le monde ou la subsistance des homes soit si peu assurée et si precaire[1]. Il n’y a donc aucune province qui puisse penser pouvoir se passer deux ans du secours de l’autre le besoin est une chaine qui les lie toutes et les maintient sous un empire.
On voit des loix ou les empereurs deffendent aux rois d’arrêter le cours des rivieres qui vont dans un autre royaume {f.118r} ce qui le feroit perir.
L’empire separé de trois côtés par la mer, des deserts et des montagnes ne peut avoir d’ennemis que du côté du Nord. Cela a fait établir le siege de l’empire dans le Nord. Or les provinces du Nord sont infiniment plus belliqueuses que celles du Midy et leurs peuples plus courageux[2], le Midy ne peut donc que difficilement se separer du Nord.
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Main principale Q |
1880 Chap. 6.
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Main principale Q |
1881 {f.120v} Armoriques* Je crois que le pere Hardouin fut bien content lorsque dans une ode d’Horace il decouvrit les jacobins. Ce ne dut pas etre un moindre plaisir pour Mr l’abbé Dubos lorsqu’il vit pour la premiere fois le rolle que la republique des Armoriques alloit joüer dans le monde[1]
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Main principale Q |
1877 |
n1. |
Les articles nº 1877 et 1878 sont des états préparatoires des deux derniers chapitres (19-20) du livre XIII de L’Esprit des lois, consacrés à la manière de prélever l’impôt et aux traitants. Cf. nº 1572. |
1877 |
n2. |
Avant de devenir empereur en 361, Julien, dit l’Apostat (voir nº 92 et 98), avait été envoyé par Constance II défendre la Gaule contre les Barbares (355-360). Selon Ammien Marcellin (Histoire de Rome, XVII, 3, § 2-5), il s’opposa catégoriquement à tout prélèvement fiscal supplémentaire en Gaule. |
1877 |
n3. |
Comprendre : rôles. |
1877 |
n4. |
Ammien Marcellin, Histoire de Rome, XVI, 5, § 14. |
1878 |
n1. |
Le chapitre de L’Esprit des lois consacré aux traitants (XIII, 20) était absent du manuscrit ; il a été rédigé plus tardivement que le reste du livre XIII, entre 1747 et 1748 (De l’esprit des loix (manuscrits), I, OC, t. 3, introduction, p. 331). Dans la version définitive, Montesquieu critiquera principalement la considération dont jouissent les traitants, source de corruption des gouvernements modérés, mais ne reprendra pas cette réflexion sur le crédit ; sur la critique des traitants chez Montesquieu, voir Céline Spector, Montesquieu et l’émergence de l’économie politique, Paris, H. Champion, 2006, p. 392-396. |
1879 |
n1. |
Cf. EL, VII, 6 ; XVII, 6. |
1879 |
n2. |
Geographica, p. 147 ; EL, XVII, 2. |
1880 |
n1. |
Voir EL, VII, 7. |
1880 |
n2. |
Les lois et la nécessité de favoriser les cultures pour nourrir un peuple nombreux viennent tempérer les effets du climat et de la grandeur de l’Empire et faire de la Chine une exception parmi les gouvernements despotiques ; voir EL, XIV, 5 ; XVIII, 6 ; nº 1840. |
1880 |
n3. |
Les références à l’extrait de la Description géographique, historique, chronologique, politique et physique de l’empire de la Chine et de la Tartarie chinoise du père Du Halde renvoient au recueil des Politica (« Pol. » ; voir nº 1501, note 1) mais la pagination est celle du deuxième volume des Geographica (f. 136v, p. 164). |
1880 |
n4. |
Geographica, f. 131r, p. 168. La dernière phrase (« Les provinces […] l’empire. ») y est placée entre parenthèses et précédée d’un astérisque pour signaler un commentaire personnel. |
1880 |
n5. |
Geographica, f. 133r, p. 170. |
1880 |
n6. |
Voir Geographica, p. 197, 203. |
1881 |
n1. |
Dans l’ode XX (livre II) d’Horace, jugée apocryphe, le père Hardouin (voir nº 872) voyait une allusion aux frères prêcheurs de l’ordre de Saint-Dominique ou jacobins (Johannis Harduini, Opera varia, Amsterdam – La Haye, H. du Sauzet – P. de Hondt, 1733, p. 343) ; l’abbé Dubos avait comparé ce qu’il imaginait de la révolte et de la république des Armoriques, confédération de cinq provinces gauloises, avec celles des Provinces-Unies, qui secouèrent le joug de Philippe II d’Espagne, et il leur imputait l’établissement de la monarchie française (Histoire critique de l’établissement de la monarchie française dans les Gaules, Paris, Osmont, Hourdel, Huart l’Aîné, David le Jeune, Clousier, Chaubert et Gissey, 1734, t. I, liv. II, chap. 3, p. 253 et suiv. – Catalogue, nº 2930). |